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Les vétérinaires et la lutte contre les contaminations croisées

Les vétérinaires sont constamment en contact avec une forte pollution intérieure ; ils sont confrontés à de hauts risques pour leur santé lorsqu’ils exercent leur profession :

  • Polluants aéroportés aux risques infectieux (bactéries, urines, selles, sang …).
  • Transmissions de zoonoses et contaminations croisées entre animaux.
  • Présence de COV, Composés Organiques Volatils, concentrés dans les désinfectants et les produits de nettoyage utilisés massivement dans leur métier.

Ces différents agents viennent menacer l’environnement sain dans lequel le professionnel de santé doit effectuer ses missions. La bonne qualité d’air est un élément central à préserver pour la santé des médecins et celle des animaux. Pour l'optimiser, la filtration de l'air est une solution.

Des polluants aéroportés aux risques infectieux 

Lors des consultations et opérations en clinique ou cabinet vétérinaire, un nombre considérable de polluants aéroportés se propagent dans l’air. Ce sont les poils, les plumes, les spores, les squames et les fluides corporels animaliers.

Ils ont des effets nocifs pour le corps humain et peuvent être à l’origine de réactions telles que l’eczéma, l’urticaire, les éternuements etc. Cependant, ce ne sont pas les seuls impacts indésirables.

Il est fréquent d’observer des professionnels de ce domaine atteints de rhinite allergique, d’asthme ou d’autres manifestations allergiques. Ces effets, s'il y a une trop forte exposition aux polluants aéroportés, peuvent s’aggraver. Les vétérinaires risquent d'être victimes de chocs anaphylactiques, de pneumopathies et d’hypersensibilité. Ils doivent donc veiller à l’élimination des polluants aéroportés pour assurer une hygiène irréprochable sur leur lieu de travail.

La dispersion des particules organiques émises par les animaux est un réel problème. Pour avoir un air intérieur sain et éliminer les polluants, les professionnels de la santé animale peuvent utiliser des purificateurs d’air. Les composés nocifs pour les organismes seront filtrés, prévenant ainsi des effets indésirables.

La transmission de zoonoses et contaminations croisées entre animaux 

La libération de particules de tailles importantes n’est pourtant pas le seul élément qui menace les vétérinaires. La présence d'animaux porteurs de pathologies diverses, avec les nombreuses allées et venues dans les cabinets et cliniques vétérinaires, rendent compliquée la préservation d’un environnement sain.

Ces germes, polluants aéroportés, particules, virus aérophiles et spores fongiques sont à l’origine de contaminations croisées entre animaux. Ce phénomène est très préoccupant pour les vétérinaires dont le rôle est d’assurer leur bonne santé.

De nombreuses espèces animales entrent en consultation vétérinaire chaque jour. Cela a pour effet de propager certains virus entre animaux et de devenir une menace dans l’environnement de travail du vétérinaire. Pour assurer leurs soins, filtrer l’air des lieux où ils exercent est nécessaire.

Les zoonoses, transmissibles des animaux aux hommes

Hormis les contaminations croisées, les vétérinaires assurent un rôle primordial dans notre société, la lutte contre la propagation de zoonoses ! Ce sont les maladies qui se transmettent de l’animal à l'être humain ou celles communes entre humains et animaux. 60% des maladies infectieuses humaines sont zoonotiques d’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

Ce chiffre rend compte du rôle essentiel joué par nos professionnels de santé pour limiter la propagation de maladies infectieuses. En soignant les animaux, ils assurent constamment notre protection et la leur.

Aujourd’hui, c'est la pandémie mondiale du COVID-19 (maladie d'origine zoonotique) qui met en lumière les effets dramatiques entrainés par certaines transmissions de zoonoses.

    

Cependant, cette épidémie n’est, ni la première, ni la dernière d’origine zoonotique. Le covid-19, le Sida, Ebola ou encore la grippe aviaire sont aussi apparues à la suite de contacts entre humains et animaux. Certaines sont les maladies les plus virulentes de la planète et représentent un réel danger pour tous. Responsables d’un grand nombre de morts, il est essentiel de les limiter et de s’en protéger.

Les agents biologiques responsables des zoonoses

Les agents biologiques responsables des zoonoses sont des bactéries, virus, champignons microscopiques, parasites et prions. Les vétérinaires doivent s'en protéger pour ne pas devenir hôtes de ces maladies. C'est en travaillant dans des cabinets, cliniques, fermes d’élevages, abattoirs, animaleries … que les zoonoses se transmettent plus facilement.

De plus, la réduction du territoire des faunes sauvages rapproche géographiquement l’Homme de l’animal et accroît le phénomène. Cela crée du contact entre ces deux parties et accélère la propagation de zoonoses dans le monde. Il s'agit aujourd'hui de prévenir de ces effets dévastateurs.

Limiter cette diffusion, par la filtration de l’air par exemple, semble donc être une étape primordiale dans la protection des populations. La deuxième étape de filtration du purificateur d’air (composée des filtres HEPA 13 et 14 et des filtres à charbon actif), permettra d’éliminer effectivement toutes les particules fines dans l’air et d’empêcher leurs nuisances.

Présence de COV, Composés Organiques Volatils 

Les vétérinaires subissent également des effets néfastes sur la santé, générés par les Composés Organiques Volatils (COV). Ces composés gazeux proviennent des produits chimiques utilisés lors des consultations. Durant leurs rendez-vous, les médecins des animaux emploient de nombreux agents désinfectants, pour stériliser la pièce et sécuriser la visite de l’animal, qui émettent des odeurs et créent des risques sur la santé.

Ce sont les détergents, les éthers, la bétadine, les alcools mais aussi des gaz et autres produits.

Une forte concentration aérienne de ces produits peut entraîner des chocs toxiques et chimiques. Ces composés nocifs pénètrent ainsi en profondeur dans les organismes qu'ils atteignent.

Voici de nombreux exemples de produits ainsi que leurs effets potentiels sur le corps humain :

  • Halothane (vapeur anesthésique) : effets sur le foie, insuffisance hépatique
  • Cytostatiques (traitements lors des chimiothérapie) : risques mutagènes, toxiques et tératogènes
  • Désinfectants : sources de troubles respiratoires, irritation
  • Aldéhydes (formaldéhyde, glutaraldéhyde) : provoquent asthme et sont cancérogènes selon le Centre International de Recherche contre le Cancer (formaldéhyde).

Les composés les plus dangereux restent ceux libérés lors de l’utilisation de gaz anesthésiants, anesthésiques en général, produits d’euthanasie et médicaments de chimiothérapie. Tout comme pour les virus, bactéries, particules fines etc, les purificateurs d’air permettent de traiter les COV. Présents dans l’air, les appareils les filtrent de manière efficace et rapide.

Les purificateurs d'air permettent aux vétérinaires d’avoir une protection complète pour leur santé et celle de leurs animaux. Ils éliminent les odeurs et ainsi apaisent les animaux de la violence olfactive, limitent les contaminations croisées de zoonoses, filtrent les COV et les polluants aéroportés.

Pour garantir un environnement sain et propice à une activité hygiénique, découvrez nos purificateurs d’air ici.